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Les tribus du rameau lobiA partir de : 240,00 €
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La langue des peuls ou foulbéA partir de : 42,65 €
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Monteil, explorateur et soldatA partir de : 40,00 €
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Paysans d'Afrique occidentaleA partir de : 8,40 €
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Le Royaume d'Arda et son évangélisation au 17ème siècleA partir de : 24,00 €
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Les Manding et leur langueA partir de : 50,00 €
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Le CamerounA partir de : 10,16 €
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La langue des peuls ou foulbé. Lexique Français-PeulA partir de : 37,95 €
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L'afrique précolonialeA partir de : 16,95 €
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Histoire des noirs d'AfriqueA partir de : 4,40 €
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Plan de monographie régionaleA partir de : 25,80 €
Ouvrage important dans lequel, tenant compte du nouvel environnement de l'après guerre, un administrateur de grand talent tente de dresser un tableau global de la colonisation et des conditions de sa transformation pour tenter d'assurer autonomie, liberté et bien-être aux populations restant encore sous notre tutelle. Un difficile cocktail entre transfert rapide des responsabilités au sommet, solution politiquement souhaitée mais lourde de dangers potentiels et éducation administrative et politique à la base préalable, plus sûre mais trop lente. Où va donc, en 1952, l'Union française dans une communauté intrnationale qui la refuse ???
Henri Labouret (1878-1959) commencera une carrière de militaire: engagé comme simple soldat, il sera plus tard lieutenant de tirailleurs sénégalais en AOF. Grièvement blessé en 1916 lors d'opérations dans le Haut Bandama (Côte d'Ivoire) il sera détaché à des fonctions administratives….en pays Lobi où il aura à charge le cercle de Gaoua.
Il passe alors dans le corps des administrateurs et sert en AOF jusqu'en 1926, date à laquelle il succède à Delafosse à l'ENFOM et à Langues'O. Il prend sa retraite comme gouverneur honoraire en 1935.
Chercheur au regard pénétrant et méthodique, il témoigne dans toute son oeuvre d'une grande sympathie envers l'homme africain et marque fortement par plusieurs de ses ouvrages cette période où, un peu dans le brouillard, l'on préparait les Indépendances.
Il passe alors dans le corps des administrateurs et sert en AOF jusqu'en 1926, date à laquelle il succède à Delafosse à l'ENFOM et à Langues'O. Il prend sa retraite comme gouverneur honoraire en 1935.
Chercheur au regard pénétrant et méthodique, il témoigne dans toute son oeuvre d'une grande sympathie envers l'homme africain et marque fortement par plusieurs de ses ouvrages cette période où, un peu dans le brouillard, l'on préparait les Indépendances.