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Légendes africainesA partir de : 2,79 €
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La main sècheA partir de : 8,50 €
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Les cancrelatsA partir de : 10,00 €
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Les méduses ou Les orties de merA partir de : 4,00 €
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Le Zulu, suivi de Wvène le fondateurA partir de : 3,99 €
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La veste d'intérieur, suivi de Notes de veilleA partir de : 6,49 €
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L'arc musical précédé de EpitoméA partir de : 9,49 €
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Le mauvais sang suivi de Feux de brousse et de A triche-cœurA partir de : 15,00 €
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Soleil sans lendemainsA partir de : 5,99 €
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Ces fruits si doux de l'arbre à painA partir de : 3,72 €
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Le ventre, le pain ou la cendreA partir de : 11,50 €
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Arc musical, précédé de EpitoméA partir de : 17,50 €
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EpitoméA partir de : 20,00 €
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Œuvres complètes, I - J'étais nu pour le premier baiser de ma mèreA partir de : 15,40 €
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Les Grandes Voix du Sud - Volume 1 avec 3 CD audio: Négritude & poésieA partir de : 9,99 €
Plusieurs rééditions: en 1968 puis 1973
Gérald-Félix TCHICAYA prend en 1957 le pseudonyme de U Tam'si (qui parle pour son pays), pseudonyme que prendra aussi Marcel Sony dit Sony Labou Tansi.
Né en 1931 sur la plaine côtière de Pointe-Noire au Congo, il quitte son pays dès l'âge de 15 ans pour la France où son père, Jean Félix Tchicaya, est député. Celui-ci prédestine son fils au métier de magistrat mais l'enfant rebelle quitte l'école avant son baccalauréat pour exercer plusieurs petits métiers et se livrer à l'écriture. À 24 ans, il publie son premier recueil Le Mauvais sang et est unanimement considéré comme le poète africain le plus doué de sa génération. Sa voix, qui pourtant refuse de s'associer aux chantres de la négritude, demeure la plus importante qui se soit révélée depuis celle d'Aimé Césaire. En 1960, au moment des indépendances africaines, il met sa plume au service de Patrice Lumumba, mais celui-ci est assassiné.
Meurtri, il revient en France et s'occupe de l'éducation auprès de l'Unesco jusqu'en 1986, date à laquelle il prend une retraite anticipée pour se consacrer entièrement à l'écriture, jusqu'à sa mort en 1988 (notice Présence Africaine)
Né en 1931 sur la plaine côtière de Pointe-Noire au Congo, il quitte son pays dès l'âge de 15 ans pour la France où son père, Jean Félix Tchicaya, est député. Celui-ci prédestine son fils au métier de magistrat mais l'enfant rebelle quitte l'école avant son baccalauréat pour exercer plusieurs petits métiers et se livrer à l'écriture. À 24 ans, il publie son premier recueil Le Mauvais sang et est unanimement considéré comme le poète africain le plus doué de sa génération. Sa voix, qui pourtant refuse de s'associer aux chantres de la négritude, demeure la plus importante qui se soit révélée depuis celle d'Aimé Césaire. En 1960, au moment des indépendances africaines, il met sa plume au service de Patrice Lumumba, mais celui-ci est assassiné.
Meurtri, il revient en France et s'occupe de l'éducation auprès de l'Unesco jusqu'en 1986, date à laquelle il prend une retraite anticipée pour se consacrer entièrement à l'écriture, jusqu'à sa mort en 1988 (notice Présence Africaine)