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En Afrique noire, des pays connaissent aujourd’hui la famine ; des régions entières se désertifient et les grandes maladies continuent de faire des ravages. Comment, sans baisser les bras, poursuivre les efforts du développement et multiplier les liens de solidarité ?
N’oublions pas que les principaux acteurs sont déjà à pied d’œuvre. Pendant des siècles, les populations locales se sont adaptées au terrain et au climat. Elles ont équilibré leur existence et ont conservé leur dynamisme et leur génie propre. Le récit de Jean Damay vient bouleverser notre pessimisme : « J’ai vu des villages entiers creuser leur puits, construire leur école de brousse, créer leur pharmacie villageoise et commencer à s’organiser. »
A travers ces lettres du Nord-Cameroun, écrites à ses amis français –et picards- Jean Damay raconte la vie, les joies et les peines, les efforts et les espoirs des paysans massa. Nous nous sentons proches de ces paysans du Nord-Cameroun qui nous séduisent par l’harmonie de leur vie, nous adjurent de ne pas étrangler leur pays et nous demandent le « coup de pouce » indispensable à leur développement.
Un témoignage vivant sur l’Afrique des villages qui rayonne d’espoir malgré le poids des difficultés sur le terrain.
La correspondance du père Damay, installé à Yagoua dans le Nord-Cameroun, raconte la vie quotidienne des paysans massa, leur dynamisme et leurs réponses face à la pauvreté, la maladie et au défi du développement