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Harpes ZandéA partir de : 36,00 €
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Des ennemis, des Arabes, des histoires…A partir de : 10,00 €
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Un ancien royaume Bandia du Haut OubanguiA partir de : 23,00 €
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Poètes Nzakara. Tome IA partir de : 11,90 €
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Une esthétique perdue: harpes et harpistes du Haut-OubanguiA partir de : 24,05 €
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Vocabulaire botanique comparé de quatre flores vernaculaires de l'Empire centrafricainA partir de : 15,00 €
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Satires de LamadaniA partir de : 18,80 €
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L'humanité des harpesA partir de : 26,50 €
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Poètes nzakara. Tome IIA partir de : 26,00 €
Il y a plus d’un demi-siècle, un ouvrage d’E. E. Evans-Pritchard, consacré à l’étude de la causalité et de la divination, attirait à nouveau l’attention sur les sociétés zandé et nzakara. L’ouvrage se propose de prolonger ces analyses, toujours à partir de recherches conduites sur place, en Afrique centrale. On essaie d’y montrer que, pour ces sociétés, rien n’est identique : qu’une infinité d’existants singuliers, hiérarchisés à l’infini, s’accommode d’un univers foisonnant de causes ; que l’“œil du destin” (Zàgi kánà) – ou du monde – confirme ces êtres dans leur hiérarchie, qui est leur lien ; que tout ce qui n’est pas constitué tel est désordre du monde et, littéralement, vain ; que l’action de l’homme peut seule instituer l’identité, composer avec les différences et, de surcroît, donner aux conséquences un sens.
Une prolongation des analyses d'E. E. Evans Pritchard sur les sociétés zandé et nzakara pour tenter de démontrer que dans ces sociétés rien n'est identique et qu'une infinité d'existants singuliers s'accomode d'un univers foisonnant de causes.