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Cette approche collective étudie la musique comme fait social, à travers les usages qui en résultent et les sentiments d'appartenance qui lui sont liés. Un espace de dialogue se dessine autour de la textualité de la musique et de son interpénétration avec la réalité sociale. De cette rencontre interdisciplinaire, résultat d'un croisement entre diverses aires culturelles, d'une mise en commun d'outils d'analyse et d'un mélange de sons, émerge une étude hybride à l'image de l'hétérogénéité des processus décrits. Invitation à la découverte ou redécouverte d'un objet méconnu, au cœur de terrains eux-mêmes peu connus, ce livre appelle au décloisonnement des visions sur les musiques dites populaires. Il incite à l'exploration de différentes formes de savoirs et à l'ouverture de nouvelles perspectives interprétatives.
- Elikia M’Bokolo : Préface,
- Giulia Bonacci et Sarah Fila-Bakabadio : Introduction,
- Esteban Buch : Musiques populaires et musiques d’Etat : à propos d’une version rock de l’hymne national argentin,
- Sarah Fila-Bakabadio : Les trois sphères de la Kwanza Music,
- Michel Agier : Esthétique et politique de l’identité,
- Sarah Daynes : La notion de diaspora dans les paroles de reggae : l’exemple de l’élaboration d’une mémoire collective sociopolitique,
- Giulia Bonacci : De la diffusion musicale à la transmission religieuse : reggae et rastafari en Italie,
- Gabriel Segré : Musique populaire et appartenance : “Les amis d’Elivis”.